Aperçu des sections

  • Généralités

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      Une question ? Une réponse ! Forum
      Bonjour et bienvenue chères et chers étudiant.e.s de M1 en droit et en science politique sur ce cours moodle récapitulatif de la première séance de formation "Devenir acteur, utilisateur et contributeur de la documentation juridique", de l'UE "Compétences numériques : recherche documentaire approfondie".

      Cette UE s'inscrit également dans les objectifs d'acquisition de compétences transversales permettant d'obtenir la certification "Pix + Droit". Certains d'entre vous suivront d'ailleurs au second semestre l'UE "Compétences numériques : préparation au Pix + Droit", proposée par le département informatique de l'UFR et pilotée par M. Delimi.

      Quelle est la thématique de la séance ?
      Vous amener à découvrir et comprendre les principes, les enjeux et les perspectives de la Science Ouverte, maîtriser votre identité numérique tout en vous invitant à exercer un esprit réflexif et critique dans le paysage de la documentation juridique.

      C'est bien gentil tout cela, mais qu'allons-nous apprendre ?
      • Exploiter des ressources de toutes natures et sur tous supports,
      • Développer son esprit critique sur les critères et les méthodes d’évaluation qualitative et de fiabilité des informations, 
      • Devenir acteur, utilisateur et contributeur de la documentation dans le contexte de la Science Ouverte (SO)
      • Connaître les principes, les enjeux et les opportunités de la SO
      • Découvrir les politiques publiques en matière de SO (de l’université, nationales et internationales)
      • Construire son identité numérique personnelle et professionnelle

      Un cours moodle, pour quoi faire ?
      Ce cours moodle récapitule l'ensemble des points abordés pendant la séance de formation en présentiel. Il vous permet également de retrouver des fiches pratiques synthétiques mais aussi les outils et ressources utilisés pendant la formation. Organisé de manière thématique, il vous permet de cibler directement les sujets qui vous intéressent et de trouver les ressources correspondantes mises à votre disposition.

      Et si nous ne comprenons pas, pouvons-nous poser des questions ?
      Ce forum est là pour vous permettre de poser une question, de demander des informations ou toute autre chose en lien avec la formation.
      Vous pouvez également nous écrire à l'adresse suivante scd-formations@umontpellier.fr

      Mais qui êtes-vous ?
      Nous sommes 4 bibliothécaires à votre disposition pour vous aider tout au long de cette année et des suivantes. Bonne formation et surtout, bonne réussite !

      François, Mélanie, Laurence, Jérôme

  • Science Ouverte : historique

    Le mouvement pour la science ouverte est né des actions militantes de chercheurs et bibliothécaires avant de prendre un aspect plus institutionnel, aujourd'hui porté par les établissements d’enseignement supérieur, de recherche et par le législateur. Ses principes sont désormais largement diffusés à travers des formations et événements, lorsqu'ils ne sont pas déjà inscrits dans les pratiques disciplinaires ou dans les critères d’évaluation des chercheurs.

    Ainsi, de nombreux étudiants ont déjà entendu l’expression « science ouverte » au moins une fois, mais sans savoir toujours ce qu’elle recouvre ou en l’associant parfois au domaine de la vulgarisation.

    Cette première session de formation a donc pour but d'éclaircir les tenants, les aboutissants et les enjeux de la science ouverte, tout en vous proposant des outils et des ressources utiles pendant votre scolarité et pour votre future activité professionnelle.

    • Tout d'abord, un peu de définition : "La science ouverte est la diffusion sans entrave des publications et des données de la recherche. ​Elle s’appuie sur l’opportunité que représente la mutation numérique".

      Elle prend ses origines dans un mouvement né dans les années 1990-2000, dont l’idée première était de donner un accès gratuit, en ligne, aux publications scientifiques. Deux événements principaux en sont à l’origine :

      • la forte inflation du coût des abonnements aux revues, qui grève toujours plus le budget des bibliothèques
      • l’arrivée d’internet, qui va permettre de dématérialiser les articles de revues et les diffuser gratuitement en ligne

    • Quelques éléments de contexte

      Différentes déclarations et législations sont venues structurer et étoffer ce mouvement au fil du temps. Voici les principaux repères pour mieux le comprendre :

      • En 1991, nait arXiv, la première archive ouverte dans le domaine des sciences physiques
      • En France en 2001, l’archive ouverte HAL est créée sur le modèle d’arXiv
      • En 2002, l’initiative de Budapest acte le fait de s’appuyer sur les archives ouvertes et les revues pour transformer le modèle de diffusion de l’information scientifique
      • En France en 2016, la loi pour une République numérique institue le droit pour les chercheurs de déposer leur manuscrit auteur accepté en archive ouverte. Elle réduit également l’embargo après lequel la publication peut être mise à disposition à 6 mois en sciences, techniques et médecine et 12 mois en sciences humaines et sociales
      • En 2018, le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) lance un premier plan national pour la science ouverte
      • En 2021, mise en place du second plan pour la science ouverte

    • Périmètre

      Aujourd'hui, le périmètre de la science ouverte promeut l'immédiateté, la gratuité et la permanence dans de nombreux secteurs :

      • Open Access : mise à disposition des publications scientifiques
      • Open Peer Review : permettre la relecture des articles scientifiques par les pairs, de manière transparente
      • Open Data : mise à disposition des données de la recherche
      • Open Source :  mise à disposition des codes sources et des logiciels
      • Open Methodology : mise à disposition des méthodes utilisées par les chercheurs pour obtenir des résultats scientifiques
      • Open Education : mise à disposition des ressources éducatives
      Dans cette formation, nous allons nous concentrer sur l'Open Access et l'Open Data, soit les deux périmètres dont vous êtes actuellement le plus acteurs et -potentiellement- contributeurs.

    • Enjeux

      L'un de ses principaux arguments en faveur de la science ouverte est sociologique : la connaissance scientifique est le produit d'une collaboration sociale et sa propriété appartient à la communauté. Les enjeux sont quant-à eux de diverses natures.

      Académiques

      • Faciliter l’accès à l’information scientifique et technique
      • Faciliter les échanges entre pairs, la circulation des idées
      • Garantir l’objectivité des connaissances

      Politiques

      • Restaurer la confiance (mouvements anti-science)
      • Mettre la science au cœur de la démocratie
      • Répondre à un besoin d’information citoyen légitime

      Économiques

      • Les productions scientifiques issues de la recherche publique sont un bien public que chacun devrait pouvoir utiliser gratuitement
      • On parle alors d'économie de la connaissance

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      Pour aller plus loin... URL

      Pour approfondir la question de la science ouverte, ce webinaire donné par l'équipe "Appui à la Science Ouverte" de l'université vous attend !

  • Open Access et publications

    Pour comprendre l’Open Access et ses enjeux et ses opportunités, un peu de définition : c'est un mouvement international visant à rendre les publications scientifiques accessibles librement et gratuitement pour le lecteur.

    • On distingue plusieurs voies d'Open Access :
      • la voie verte : celle de l’auto-archivage ou dépôt par l’auteur de ses publications dans une archive ouverte.
      Une archive ouverte est un réservoir où sont déposées des publications issues de la recherche scientifique et de l’enseignement dont l’accès est libre et gratuit. Elle peut être institutionnelle, régionale, nationale (HAL pour la France) ou disciplinaire (arXiv en Physique, RePEC en Économie).
      A noter que les moteurs de recherche moissonnent très bien les archives ouvertes. De plus, l’auteur conserve ses droits intellectuels, notamment le fait d’être correctement cité et reconnu comme l'auteur d'un document

      • la voie dorée : elle concerne des revues nativement en Open Acces, dès leur publication.

      Une revue en libre accès est une revue scientifique avec un comité éditorial et un processus de relecture, c'est donc une véritable revue au même titre que celles qui ne sont pas en Open Access. Il existe différents modèles économiques pour la financer :

      • le modèle hybride : l'accès à la revue est possible via un abonnement + des frais de publications aux auteurs (APC), cela coûte très cher ! Ce modèle n'est pas conseillé.
      • le modèle auteur-payeur : la revue facture des frais de publications aux auteurs (APC), frais dont les montants sont très variables et qui entraînent certaines dérives
      • le modèle freemium : l'accès aux documents est possible au format html, les autres services étant payants (pdf, statistiques... ex Openédition).
      • le modèle diamant : elle est financée en amont par une institution (université, bibliothèque...)

    • Droits et obligations de publier en Open Acces

      Le contexte juridique international et national promeut l'Open Acces :

      L'article 30 autorise un auteur, dont la recherche est financée (au moins à 50%) par des fonds publics, à déposer la version postprint de son article gratuitement en ligne, immédiatement ou après embargo de 6 mois pour les Sciences Techniques et Médicales (STM) et 12 mois pour les Sciences Humaines et Sociales (SHS), même s’il a cédé tous ses droits à l’éditeur !
      Bon à savoir : la version postprint concerne la version d'un article relue par le comité de lecture d'un éditeur, avant la mise en forme de celui-ci pour publication dans la revue. Il s'agit donc d'un article scientifiquement validé.
      • Plan National pour la Science Ouverte (2018) : généralise l'accès ouvert aux publications
      • Second Plan National pour la Science Ouverte (2021) : reprend et réaffirme le premier Plan National pour la Science Ouverte (PNSO)
      • Décret 2022-928 : "précise les modalités d’application des exceptions au droit d’auteur, aux droits voisins et au droit sui generis des producteurs de bases de données introduites par l’ordonnance du 24 novembre 2021 afin de favoriser la fouille de textes et de données, les utilisations numériques d’œuvres à des fins d’illustration dans le cadre de l’enseignement et la diffusion du patrimoine culturel"
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      Pour aller plus loin... URL

      Pour approfondir toutes les questions -juridiques ou non- liées à l'Open Acces et aux publications, ce lien est fait pour vous !

      Si vous avez des questions, des incompréhensions, écrivez à hal-assistance@umontpellier.fr, nous vous aiderons avec plaisir.

  • Données de la recherche

    Le second volet fondamental de la Science Ouverte est l'Open Data ou, plus communément en français, l'ouverture des données de la recherche.

    Si on s'en tient à la définition même "les données de la recherche sont définies comme des enregistrements factuels (chiffres, textes, images et sons), qui sont utilisés comme sources principales pour la recherche scientifique et sont généralement reconnus par la communauté scientifique comme nécessaires pour valider les résultats de la recherche".

    Cela peut être plus ou moins facile à comprendre : par exemple, en archéologie, les données de la recherche peuvent être les objets issus des fouilles, en chimie, les résultats des expériences. Dans le domaine juridique, c'est plus difficile puisque les données de la recherche produites sont majoritairement des bibliographies que les chercheurs constituent et sur lesquels ils s'appuient pour développer un raisonnement scientifique. Les données de la recherche en droit sont donc moins tangibles que dans les autres disciplines mais elles sont toutes aussi importantes.

    L'enjeu majeur de l'Open Data est d'ouvrir les données de la recherche pour les rendre "aussi ouvertes que possibles mais également aussi fermées que nécessaires". Pour cela, il faut les organiser/documenter/conserver/partager/stocker/gérer en accord avec les principes FAIR, qui ont pour but de les rendre faciles à trouver, accessibles, interopérables et réutilisables.

    A cet effet, les politiques publiques internationales et nationales impulsent une législation qui soutient et promeut l'Open Science, l'Open Access et bien entendu l'Open Data.

    Le saviez-vous ? Il existe des Plans de Gestion de Données (PGD), c'est-à-dire des documents formalisés, rédigés pendant un projet de recherche pour documenter la gestion des données de la recherche, pendant et après un projet de recherche. Les PGD deviennent même depuis le décret de décembre 2021 le "cadre légal de tout projet de recherche" !

    En tant qu'étudiant de master, l'Open Data va pleinement vous intéresser puisque vous pouvez bénéficier des données de la recherches mises à disposition du public, et donc à votre disposition, par les chercheurs. Mais encore faut-il savoir où chercher et comment les trouver !

    • Trouver et réutiliser les données de la recherche

      Pour trouver et réutiliser les données de la recherche (de toutes les disciplines), on peut utiliser plusieurs outils :

      • la bibliographies des articles : vous pouvez y trouver des DOI qui renvoient vers les données utilisées/mentionnées
      • les data papers : ce sont des articles scientifiques qui décrivent des données
      • les entrepôts de données : ce sont des sites internets qui permettent de déposer/décrire/conserver/rechercher et diffuser les jeux de données
      Ils peuvent être généralistes (pour toutes les disciplines) ou thématiques, publics et privés, et permettent de rechercher des données comme sur les autres sites internets (moteur de recherche, filtres...). Dans votre discipline, nous vous recommandons d'utiliser Zenodo (mis en place par l'Union Européenne) et Recherche Data Gouv (développé par le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation)

      A noter : il est impératif de respecter les licences mentionnées pour chaque jeu de données (CC-BY, Etalab...) ! Elles indiquent les conditions d'utilisation que les auteurs ont concédés pour réutiliser leurs données. Attention, si aucune licence ou mention n'est précisée, cela ne signifie pas pour autant que la réutilisation est libre, car des droits peuvent s'appliquer automatiquement (propriété intellectuelle, protection des données personnelles).
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      Pour approfondir la question des bonnes pratiques en matière de gestion données de la recherche, ce lien est fait pour vous !

      Si vous avez des questions, des incompréhensions, écrivez à donnees-recherche@umontpellier.fr, nous vous aiderons avec plaisir.

  • Identité numérique

    Olivier Ertzcheid le dit si bien «l’identité numérique peut être définie comme la collection des traces (écrits, contenus audios ou vidéos, messages sur des forums, identifiants de connexion, etc.) que nous laissons derrière nous, consciemment ou inconsciemment, au fil de nos navigations sur le réseau et le reflet de cet ensemble de traces, tel qu’il apparaît « remixé » par les moteurs de recherche. »

    Cela concerne donc toutes les traces que l'on laisse sur le web, volontairement ou involontairement et cela implique qu'il faut être acteur de son identité numérique pour ne laisser que celles que l'on souhaite garder, mais surtout afficher aux regards des autres, personnellement ET professionnellement.

    Faisons un peu le point sur quelques conseils utiles.

    • Identité numérique personnelle

      Pourquoi est-ce important d'être visible sur Internet ?

      • cela permet de maîtriser ses traces (de ne montrer que ce que l'on choisit)
      • cela permet d'être "trouvable" par ses pairs, des potentiels recruteurs...

      Quelques astuces pour gérer sa visibilité personnelle sur Internet :

      • Se googliser ! Faîtes le point sur ce qui est dit de vous sur internet (ne vous contentez pas de la première page de résultats, regarder également les images, les vidéos...). A faire régulièrement.
      • Se chercher sur d'autres moteurs de recherche (ils ne mettront pas forcément en avant la même chose, tout dépend du paramétrage de l'algorithme)
      • Si besoin, faîtes le ménage, modifiez les paramètres de confidentialité des comptes que vous avez sur les réseaux sociaux et autre !
      • Paramétrez vos comptes
      • Réfléchissez à la portée de vos propos avant de les diffuser, rien ne se perd vraiment sur le web
      • Distinguer usages personnels et professionnels

      Être acteur de son identité numérique est aujourd'hui incontournable, tant personnellement que professionnellement. Il est donc très important de distinguer les comptes personnels et les comptes "pro" créés spécifiquement sur les réseaux sociaux pour diffuser de la veille sur ses études/son métier.

    • Identité numérique professionnelle

      Tout d'abord, un bref panorama des réseaux sociaux :

      • Les réseaux sociaux professionnels : Linkedin et Viadeo (la version française de Linkedin).
      A utiliser pour mettre son CV en ligne, contacter ou être contacté par des recruteurs.

      • Les réseaux sociaux généralistes : Twitter
      A utiliser pour discuter, converser avec ses pairs et surtout faire de la veille.

      A utiliser pour rendre ses recherches visibles, discuter/converser avec ses pairs et faire de la veille.
      A ne surtout pas utiliser pour déposer ses publications, ce ne sont pas des archives ouvertes (comme HAL) mais des réseaux sociaux privés (gérés par des entreprises dont le but est de faire du profit).


      A noter : utiliser votre nom et prénom "réels" pour vous rendre visible ainsi qu'une photo d'identité pour être clairement identifié.

    • Identifiants uniques et pérennes (à utiliser/connaître pour maîtriser son identité numérique professionnelle)

      Ils permettent :

      • d'identifier l'auteur de manière univoque
      • de lui attriquer tous les travaux dont il est l'auteur
      • vous pouvez en créer certains : IdHAL, ORCID
      • d'autres vous sont attribués : par les institutions (Idref, VIAF, ISNI...) ou des bases de données commerciales ( ResearchID, Scopus Author ID, WOS Publons...).
      A noter :
      • Pour avoir une identité numérique professionnelle cohérente, vos identifiants doivent être connectés (les uns avec les autres) et figurer sur vos comptes professionnels
      • Cela permet d'avoir une meilleure visibilité académique (de valoriser vos travaux/activités), de constituer un CV de façon simple et automatisée, de gagner du temps (éviter les saisies multiples)
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      Pour approfondir la question de l'identité numérique du chercheur en sciences juridiques, la fiche pratique du Jurisguide de la bibliothèque Cujas est faite pour vous !

  • Et ensuite ?

    La seconde séance de formation "Maîtrise de l'information", de l'UE "Compétences numériques : recherche documentaire approfondie", a lieu la semaine du 19 septembre en présentiel.

    Pendant cette séance, vous allez :
    • Comprendre et savoir reproduire une méthodologie de recherche en cinq étapes 
    • Trouver sa méthode pour monter une veille efficace et s’organiser pour exploiter les fruits de sa collecte (bases de données, ressources en Open Access)
    • Maîtriser les compétences informationnelles
    • Exercer son esprit critique
    • Se profiler

    Vous pouvez trouver le cours Moodle dédié ici : https://moodle.umontpellier.fr/course/view.php?id=26989

    Pour toute question, demande d'informations ou toute autre chose en lien avec la formation, vous pouvez nous écrire à l'adresse mail suivante : burichter-formation@umontpellier.fr

  • Un petit quiz pour la route ?

    • Icône Test
      It's quiz time ! Test


      Vous souhaitez tester vos nouvelles connaissances sur la documentation juridique et la science ouverte ? Ce quiz est fait pour vous.